Le Valais - hier et aujourd'hui

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Fülle die Lücken mit dem passenden Imparfait!

Aujourd’hui encore, on ne trouve pas tout le confort dans les villages de montagne, mais il y a cent ans, le contraste entre la ville et la montagne (sein) encore plus grand. En Valais, la vie des montagnards a changé plus rapidement que dans d’autres cantons.
La plus grande partie de la population valaisanne vit actuellement dans la plaine du Rhône. On y trouve non seulement des villes comme Brique, Sion et Sierre, mais aussi d’importantes cultures de fruits et de légumes.
Au XIXe siècle, cette plaine (sein) un marais. La plus grande partie de la population (leben) dans les villages de montagne. Le tourisme ne (spielen) pas encore le rôle actuel, pas plus que l’électricité qui constitue aujourd’hui la richesse du canton. Vers 1900, trois habitants sur quatre (sein) des paysans. Ils (leben) surtout de ce que la terre produisait, et ils (haben) peu d’argent.
La vie (sein) très dure.
L’hiver la neige (bedecken) les champs et isolait les villages. On (arbeiten) à la maison ou à l’étable. Les familles (verbringen) les longues soirées près du feu. Les femmes tissaient, les hommes (flicken) les outils. On se (erzählen) des histoires, car on ne (kennen) pas encore la radio et la télévision.
L’été, on se (aufstehen) et on se (hinlegen) avec le soleil. Tout le monde (arbeiten) dehors, dans les jardins, dans les prés et dans les champs. On menait les bêtes aux alpages. Les enfants (arbeiten) aussi ; ils (gehen) à l’école seulement en hiver.
Tous les travaux se (machen) en commun. On partageait les outils. On les accrochait à la porte des chalets, au service de tous. Mais on ne partageait pas la richesse. Il y (haben)les riches qui possédaient la plus grande partie des terres, et les pauvres qui n’ (haben) rien. Pendant les mauvaises années, les pauvres n’ (haben) souvent pas assez à manger. Pour échapper à la faim, beaucoup d’entre eux ont émigré. Aujourd’hui, personne ne veut plus vivre dans cette pauvreté. Certains villages ont perdu 80 pour cent de leur population depuis le début du XXe siècle.